Suivez mes toutes dernières nouvelles en temps réel !

Vu que le temps me manque cruellement en ce moment faute de nombreuses occupations, je vous fais part de mes toutes dernières nouvelles via ce billet qui inclut encore une nouvelle sous-rubrique : #Culture.


Depuis ces derniers mois, je suis de moins en moins présente sur la blogosphère devant me consacrer sur d’autres occupations plus importantes comme la profession, la vie familiale… (Ce qui ne veut pas du tout dire que mon bébé blog n’a plus d’importance à mes yeux, au contraire ; mais chaque chose a son temps. Et dès que l’occasion se présente, comme aujourd’hui, j’en profite pour vous faire part de mes toutes dernières nouvelles). Pour cette nouvelle édition de my very latest news, j’ai encore inclus une nouvelle sous-rubrique intitulée « culture » pour vous partager le livre que je suis en train de lire (« René La Canne » de Roger Borniche (1974))et aussi la musique que j’écoute en boucle (« Mon cœur » d’Izïa Higelin que je kiffe d’amour) en ce moment. Les sujets classiques que je parle dans les éditions précédentes sont : mode, beauté, famille, job et blogging en plus d’autres sous-rubriques comme la société, les actualités…  mais cette fois-ci je vous parle pour la première fois de culture. Et c’est parti !

Avez-vous envie de savoir mes toutes dernières nouvelles ?

Depuis notre rentrée de voyage professionnel au sud de mon île en mi-mai dernier, j’ai dû consacrer mon temps dans la préparation des sujets d’examens et d’autres papiers administratifs… (J’ai pu boucler mes sujets d’examens 1ère et 2ème sessions pour les cinq modules que j’enseigne à l’Université de Tuléar : en Licence 3, Master 1 et Master 2. Et, même si j’ai encore d’autres chats à fouetter ; j’ai pris un peu de mon temps pour vous partager mes toutes dernières nouvelles, elles sont dans toutes les sauces). Je vais vous parler essentiellement comment porter une tenue estivale en ville (vu que chez vous, c’est l’été en ce moment pendant que dans mon île, nous nous  baignons en plein hiver)… mais aussi de livre et de chanson. Cette fois-ci, je n’ai pas de nouvelles de mon blog vu que je ne suis pas trop sur la blogosphère ces-temps- ci, mais dès que le temps me le permettra je ferai un big come-back (c’est promis !)

#Mode. Quand ma robe de plage devient… une tenue de ville !

Pendant que les fashionistas dans la partie nord du globe portent leur tenue de plage en ville pour braver la canicule en pleine période d’été en ce moment, moi, de ma part, j’en fais pareil dans la partie sud du globe en pleine période d’hiver, pour prolonger la magie des vacances et les beaux temps que nous avons vécu récemment au sud de mon île. En fait, mon but c’est de vous montrer comment porter une tenue estivale en ville si vous avez la nostalgie de la plage (et ainsi la nostalgie des vacances comme moi) ou si vous habitez loin de la mer (càd de la station balnéaire comme moi d’ailleurs) ou encore si vos vacances ne sont pas toujours arrivés (autrement dit vous êtes encore au boulot en ce moment). Pas de panique ! En fait, vos tenues estivales peuvent être portées comme tenues de ville sans vous donner une allure de touriste perdue (dans ce post, je me suis basée sur la robe de plage – l’un des éléments phares des tenues des gypsy girl. Mais vous pouvez enfiler d’autres vêtements de plages en ville comme les maillots de bain, les shorts jeans… ainsi que d’autres accessoires de plage comme le cabas en pailles, les tongs) Le but c’est de vous sentir un peu en vacances en arborant vos plus beaux looks de plage qui peuvent ainsi s’affirmer sur le macadam de la ville en devenant ainsi comme :

  • Tenue de bureau. Si vous êtes obligées d’enfiler une tenue classique au travail, car votre statut l’oblige, ce n’est pas dramatique. Il suffit de lui apporter une note estivale en vous armant d’accessoires de vacances comme le sac en paille… ou de bijoux, par exemple en coquillage… sans oublier vos lunettes de soleil. Mais si toutes les tenues sont admises au sein de votre Open Space, vous allez avoir l’embarras de choix, car vous pouvez par exemple enfiler votre chemisier en coton léger aux motifs hawaïens avec un pantalon en lin blanc. Rehaussez le tout avec une paire d’escarpins ou de sandales compensées.
  • Tenue pour le jour off (ou tenu de balade). Le maître mot c’est de transformer votre tenue estivale en tenue de ville plus détendu pour le week-end. Cela ne veut pas dire que vous êtes obligées de vous balader le long des Grands Boulevards avec un paréo autour de votre taille, oh que non ! Au contraire, pourquoi ne pas porter votre short jean destroy avec un maillot de bain une pièce comme un body ou avec une blouse large ? Si vous êtes plus timide en ville que sur le bord de la plage, une autre option se présente à vous : celle de porter votre crop-top avec une chemise à manches courtes ouverte par-dessus. Pour bien jouer le tour, n’hésitez pas à sortir vos plus beaux accessoires comme le bob, le cabas en paille ou vos espadrilles !
  • Tenue de soirée. Cela vous fait penser à la fameuse beach party, non ? Ce qui fait que vous devez être lookées pour l’occasion. Commencez par choisir une petite robe de plage sexy, mais chic ou une ravissante robe longue très tendance si vous êtes plutôt romantique et bohème. N’oubliez pas de vous munir d’une petite veste ou d’un cardigan pour vous protéger contre la petite fraîcheur de la nuit ou du petit matin. Pour des jambes élancées, portez des talons avec votre tenue sinon misez sur des compensées ou des spartiates bijoux. Et, pour attirer l’attention vers vous, optez pour des bijoux ethniques tendances, comme les colliers de tête… Pour couronner le tout, portez une petite pochette avec ou sans bandoulière.

Pour ma part, j’ai choisi de porter ma robe de plage blanche avec un manteau doudoune noir et mes boots noirs aux semelles crantées façon Prada pour bien braver le froid de l’hiver qui s’installe dans mon île. Pour bien couronner le tout, j’ai opté pour un collier superposé et un sac noir. Enjoy !

 

#Beauté. Mon avis sur le Baume Embellisseur Clear Anti Pel Diva Paris !

Pour révéler la Diva qui sommeille en moi, je me suis procurée de ce Baume Embellisseur Clear Anti Pel à Base d’Eucalyptus & Zinc de Diva Paris il y a déjà quelques semaines au moment d’un achat produits beauté quand nous étions au sud de mon île. Ce baume, faisant partie de la gamme Clear Anti Pel de la marque (constituée de quatre produits au total – tous à base d’eucalyptus et de Zinc, entre autres, le Bain Masque Démêlant, le Shampooing et Soin Anti-Pelliculaire et le Sérum Miraculeux), est spécialement conçue pour lutter efficacement contre les pellicules et les démangeaisons grâce aux soins intensifs du Zinc et aux bienfaits de l’Eucalyptus. Ils combattent les pellicules grasses ou sèches, apaise et purifie, assainit le cuir chevelu. Ce baume de 150 ml est adapté aux cheveux normaux à gras et la tolérance est testée sous contrôle dermatologique.  

  • Ingrédients : Aqua, Sodium Laureth Sulfate (A) / Sodium C12-13 Pareth Sulfate (B), Cocamidopropyl Betain, Glycerin, Sodium Chloride, Dimethiconol, Pirodone Olamine, Pyrithione de Zinc, Parfum, glycol Distearate, Carbomer, Guar Hydroxypropylitrimonium Chloride, Sodium Laureth Sulfate (B), TEA – Dodecylbenzenesulfonate, Disodium EDTA, Triethanolamine, PEG-45M, Mice, Citric Acid, Sodium Hydroxide, PPG – 12, DMDM Hydrantain, Sodium Benzoate, TEA-Sulfate, Methylchloroisothiazolinone, Methylisothiazolinone, Amyl Cinnamal, Benzyl Alcohol, Benzyl Solicylate, Butylpheryl Methypropional, Citronellol, Hexyl Cinnamal, Hydroxycitronellal, Limonene, Linalool.
  • Promesses : ce baume est idéal pour toutes celles qui souhaitent éliminer radicalement leurs pellicules et ainsi redonner pureté et fraîcheur à leurs cheveux. Pour cela, Diva Paris nous livre son secret qui n’est rien d’autre que les actifs performants que contiennent ce produit, entre autres, le Zinc qui redonne fraîcheur et régénère les cheveux tout en laissant un écran protecteur défendant des effets desséchant du sèche-cheveux, du soleil et du vent. En outre, la formule de ce baume est concentrée aux huiles d’Eucalyptus qui nourrit les fibres capillaires et redonne rigueur, vitalité et beauté pour des cheveux propres, frais et sans pellicules.
  • Conseils d’utilisation : appliquer 1 ou 2 noisettes sur cheveux secs et coiffer (pour ma part, j’applique un peu plus que cela). Pour plus d’efficacité, adoptez le rituel de beauté Clear Anti Pel : (1) Shampooing et Soin Anti-Pelliculaire, (2) Bain Masque Démêlant et (3) Sérum Miraculeux.
  • Mon avis : commençons par les (i) points positifs. En fait, j’ai surtout utilisé ce baume embellisseur en guise de masque et le pari a très bien réussi, car il a assuré deux fonctions pour mes cheveux : masque et huile, qui a bien embelli mon cuir chevelu (ça n’alourdit pas du tout les cheveux) bien que je n’ai pas trop de problème avec les pellicules. Côté prix, ce produit n’est vraiment pas cher, car il ne m’a coûté que moins de 3 euros. Le design du récipient me plait beaucoup et sa taille facilite la prise en main. Sur ce qui est de la texture du produit, rien à dire, je trouve que c’est parfait, ni trop liquide ni trop épaisse. Ce baume a aussi une odeur légère très agréable, contrairement à d’autres produits qui ont de fortes odeurs difficiles à se débarrasser dans les mains. Ensuite, abordons (ii) les points négatifs. Le récipient n’est pas trop adapté au déplacement, car durant notre dernier voyage, j’ai perdu presque le tiers du flacon (problème sur le système de fermoir ??? Heureusement que je l’ai emballé à part dans un sachet étanche dans ma trousse de toilette sinon, ça aurait pu pourrir toutes mes petites affaires). Les ingrédients sont écrits en trop petits caractères sur une partie du récipient, du coup, c’était un parcours de combattant pour les lire même avec mes lunettes de vue un peu loupe afin de les écrire sur ce post (en fait, en faisant des recherches sur le net, il n’existe aucun avis sur ce produit. Même le site de Diva Paris ne l’affiche pas sur sa page de produits).
  • Recommandation : je vous recommande ce Baume Embellisseur Clear Anti Pel Diva Paris si vous avez des soucis de pellicule et si vous voulez surtout embellir votre cuir chevelu.
  • Note : 4/5.

#Famille. Comment bien préparer notre bébé à sa première rentrée scolaire ?

Eh oui, il est grand temps de penser à bien préparer notre bébé à sa première rentrée scolaire. C’est fou ce que le temps passe à une vitesse V, car il grandit aussi à une vitesse V qui fait que nous nous en apercevons même pas. Nous parlons déjà de sa première rentrée scolaire en ce moment, pourtant, je me souviens encore de ce jour où j’ai pu le sentir pour la première fois contre moi sur le lit d’accouchement de l’hôpital… et maintenant il a déjà 33 mois (normalement, s’il intègre l’école la prochaine rentrée, il peut entrer en petite section. Et si jamais, nous attendons l’année prochaine – ce qui n’est pas encore en retard – il intègrera tout de suite la moyenne section ayant moins de 4 ans). C’est le moment idéal, car il commence à bien s’exprimer malgré que quelques-unes de ses expressions restent encore incompréhensibles, mais c’est de moins en moins rare la journée (en fait, il s’exprime surtout en français – la langue maternelle de son papa dont nous parlons à la maison, mais il comprend très bien le malgache – ma langue maternelle. Il commence même à faire des récitations que je lui apprends, à retenir quelques lettres de l’alphabet, quelques chiffres…) M-a-i-s, il reste encore d’autres petits soucis : le pipi et le caca à la culotte ! Je suis optimiste, je pense que d’ici la rentrée à l’école, nous arriverons à remettre tout dans l’ordre (on travaille à fond là-dessus pour qu’il soit « propre » avant le jour J). Ce qui importe le plus dans tout ça c’est de savoir ce que nous devons faire pour une bonne préparation de sa première rentrée à l’école aussi bien côté enfant que côté parents. En fait, la liste est non exhaustive pour ce qui est de ladite préparation, mais je vais vous citer quelques-unes à qui nous tâchons de faire, entre autres, de :

  • Lui parler du changement qui arrive.
  • Lui familiariser avec l’école.
  • Donner confiance à notre enfant.
  • Lui apprendre à être autonome.
  • Lui acheter de jolies affaires  pour la rentrée.
  • Penser à prendre le temps de l’accompagner à l’école.
  • Ne pas lui mentir au moment de partir.
  • Lui parler du jour J quelques jours avant et le préparer à l’avance.
  • Valorisez son nouveau statut de « grand ».
  • Lui raconter ce qui nous plaisait à l’école.
  • Ne véhiculer aucunes émotions négatives.
  • L’habituer à faire certaines choses seul comme s’habiller et à aller à la toilette sans aide.
  • Lui donner souvent l’occasion de jouer avec d’autres enfants.
  • Lire souvent des livres pour lui.
  • Compter ensemble certaines choses (nous avons l’habitude de compter les marches en montant à l’étage de notre maison…).
  • Mettre des feuilles et des crayons à sa disposition pour qu’il dessine quand il en a envie (comme sur les photos là-dessous).
  • Aller souvent dehors avec lui pour le faire bouger (depuis quelques semaines, nous jouons avec lui au ballon dehors sur le gazon après le déjeuner… on dirait un vrai petit footballeur 🙂
  • Lui apprendre à manger seul…

#Culture. Je lis « René La Canne » de Roger Borniche (1974) et j’écoute en boucle « Mon cœur » d’Izïa Higelin !

  • Je lis « « René La Canne » de Roger Borniche (1974) !

En février dernier quand nous étions au sud de mon île – non pas pour donner mes cours à l’Université de Tuléar, si vous vous en souvenez – pour passer un entretien oral à l’intention de l’Autorité de Régulation des marchés publiques (ARMP) de Madagascar, j’ai pu récupérer le livre que je suis en train de lire en ce moment dans la bibliothèque de notre hôtel (du coup, je ne donne pas encore mon avis là-dessus vu que ma lecture n’est pas complètement achevé). Ce bouquin de 436 pages m’a tout de suite tapé dans l’œil en voyant le titre : « René La Canne » écrit par Roger Borniche (1974) de l’édition Fayard (à la Librairie Artème Fayard, 1974). En fait, rien que sur la couverture vous pouvez savoir tout ce qui est écrit dans le livre : « La fantastique partie d’échecs entre un cerveau du banditisme et un policier plein d’imagination » autrement dit c’est « L’implacable duel entre un tueur impitoyable et un policier pas comme les autres » après Flic Story(du même auteur chez le même éditeur). Et c’est tout à fait le cas, car d’après :

LE FIGARO : « D’un côté, une passionnante chasse à l’homme, un film-vérité zébré de coups de feu, de l’autre, un document qui soulève le cœur. Quel livre instructif ! »

France-Soir : « Au fil des pages de ce document, on découvre une certaine vérité, un certain éclairage sur le monde secret de la police ».

L’Express : « Borniche s’accuse devant nous, il nous piège. Nous devenons les complices de cet inspecteur. »

Gazette du Palais : « Le récit de ce policier exceptionnel est composé avec un art subtil. Au point de vue criminologique, le livre est précieux. »

Vous voyez à quel point, je ne me suis pas trompée de choix en mettant ma main sur ce bouquin, mais passons tout de suite aux choses sérieuses en rapportant la présentation faite par Constantin Melnik (né le 24 octobre 1927 à La Tronche et mort le 14 septembre 2014, est un coordinateur des services de renseignement auprès du Premier ministre français, Michel Debré, de 1959 à 1962 au plus fort de la guerre d’Algérie. Source : Wikipédia) de ce fameux René La Canne sur la première page du livre qu’est :

« La pathétique partie d’échecs entre un cerveau du banditisme et un policier plein d’imagination » par Constantin Melnik.

Roger Borniche avait dédié son œuvre à sa femme Michèle et à Constantin Melnik d’ailleurs. Dans son avant-propos, il a écrit que :

« Dans Flic Story, j’avais raconté, pour mieux faire connaître le monde obscur de la police, le duel qui m’opposa à Émile Buisson(dit « Mimile » ou « Fatalitas », né le 19 août 1902 à Paray-le-Monial et guillotiné à Paris le 28 février 1956, est un malfaiteur français. Source : Wikipédia), l’impitoyable tueur de l’après-guerre.

Aujourd’hui, avec « René La Canne » – tel était le surnom donné dans le Milieu au célèbre ennemi public René Girier -, j’aborde un aspect encore plus délicat de la lutte contre le banditisme : sous des dehors séduisants et charmeurs, René La Canne a organisé, avec la minutie d’un horloger, les évasions les plus spectaculaires et les hold-up les plus sensationnels que je connaisse.

Comme dans Flic Story, mon récit est fondé sur des faits authentiques. Cependant, pour préserver la vie privée et la réputation de personnes qui ont été emportées, malgré elles, dans le tourbillon de l’affaire Girier ou qui, depuis, ont changé d’existence, j’ai modifié les noms de quelques personnages et de quelques lieux. » (Signé : R. B.)

Dans son épilogue, Roger Borniche a conclu que :

« 6 juillet 1951. René Girier est condamné, pour son évasion de la prison de La Santé, à dix-huit mois de prison par la 14e chambre correctionnelle de la Seine.

Moinon retrouvé peu après, subit le même sort.

A la même audience, maître Grador est condamné à dix-huit mois de prison et cinquante mille francs d’amende, Hélène de Labassagne et André Gueudé à huit mois de prison ferme, Gennie à quatre mois de prison avec sursis.

14 novembre 1952. La Cour d’Assises de la Seine condamne René Girier à huit ans de réclusion criminelle et à la relégation pour vol qualifié. Cette sentence vise l’agression du boulevard Jourdan. Par contre, aucune inculpation n’est retenue contre René Girier en ce qui concerne l’agression de la société Van Cleef et Arpels à Deauville. Les services de police ne sont jamais parvenus à établir sa participation au hold-up dont les auteurs n’ont pas été identifiés.

La clémence de verdict s’explique en partie par le témoignage du psychiatre, le docteur Micoud, qui affirme que les méfaits de Girier sont les conséquences d’une enfance malheureuse. Il s’engage à abandonner sa charge d’expert près des tribunaux et les Cours d’Appels si René Girier se livrait de nouveau, un jour, à des activités criminelles.

19 juin 1955. Charles Bergonza est arrêté à Paris après son retour d’Italie où il s’était réfugié.

15 février 1956. Sur l’intervention du président de Moissac, de l’avocat général Raphaël, de M. Cana de l’administration pénitentiaire, René Girier bénéficie d’une mise en libération conditionnelle.

A trente-sept ans, il a subi avec succès les tests du Centre national d’orientation et est sorti major de l’école d’Écrouves avec le diplôme d’ouvrier fraiseur (mention Bien).

1974. René Girier est devenu industriel dans l’Est de la France. Il dirige sa petite entreprise, s’occupe de clubs de jeunes avec le même acharnement qui sous-tendait, jadis, ses actions de banditisme.

J’ai moi-même quitté la police et il vient souvent me rendre visite. Une amitié est née, qui dépasse de loin les rôles de gangster et de policier que nous avons joués au cours de notre jeunesse.

Il nous arrive parfois de replonger dans le passé. René Girier m’a appris bien des faits racontés dans ce livre et que je ne pouvais qu’ignorer au moment de mon enquête.

Deux sujets restent tabous. L’évocation du hold-up de Deauville amène sur le visage de celui qui fut René la Canne, un énigmatique sourire – unique survivance de son aventureux passé. Quant à « Monsieur Louis », si Girier m’en a beaucoup parlé, il s’est toujours refusé à m’en dévoiler l’identité.

« Monsieur Louis » reste inconnu des services de police, comme nombre de personnages mystérieux, ces « gros bonnets » qui, dans les coulisses, tirent sans danger les ficelles d’hommes plus courageux qu’eux.

La police ne peut tout savoir. Et c’est regrettable pour la société qu’elle protège, même si celle-ci ne lui en manifeste souvent aucune gratitude. »

En lisant ce livre, vous allez constater qu’il est encore plus passionnant que Flic Story en découvrant la vraie identité du personnage que l’auteur raconte qu’est :

« René La Canne : 30 ans, 1,80 m. Nom véritable : René Girier. Ennemi public n°1. Organise avec la minutie d’un horloger les hold-up les plus sensationnels et les évasions les plus spectaculaires.

Entre ce cerveau du banditisme et Roger Borniche, policier plein d’imagination que les lecteurs connaissent par son célèbre Flic Story, s’engage une pathétique partie d’échecs.

Les pions avancés s’appellent : avocats, témoins, indics, truands, macs, putes. Leur lente progression sur le gigantesque échiquier du Milieu éclaire d’un jour saisissant

La longue et tortueuse marche des investigations policières. »

  • J’écoute en boucle « Mon cœur » d’Izïa Higelin !

Depuis que j’ai découvert la chanson « Mon cœur » d’Izïa Higelin sur l’émission Taratata de France .2 il y a quelques semaines, j’en suis tombée raide dingue jusqu’à l’écouter en boucle en ce moment. Mais, qui est Izïa ? D’après sa biographie en ligne :

Izïa Higelin, ou simplement Izïa, est une auteure-compositrice-interprète, musicienne et actrice française, née le 24 septembre 1990 à Paris. Alors qu’elle n’a que 7 ans, son père et elle s’amusent à improviser des chansons, lui au piano, elle vocalisant en faux italien. En 2002, il lui offre sa première expérience discographique en partageant un duo avec elle sur l’album collectif Boby Tutti-Frutti, hommage délicieux à Boby Lapointe sur lequel ils interprètent L’Hélicon. Izïa est présente sur diverses scènes depuis 2005. C’est en 2009 que sa carrière démarre vraiment, avec la sortie de l’album Izïa. Elle joue au théâtre et au cinéma depuis 2011.

Izïa Anna Rosine Higelin est la fille du musicien et chanteur français Jacques Higelin et de la danseuse et chanteuse tunisienne Aziza Zakine. Elle est la demi-sœur d’Arthur H. et de Kên Higelin. Elle est scolarisée à l’École alsacienne au collège, entre 2004 et 2005.

Son prénom aurait dû être « M’Zia », qui signifie « ensoleillé » en géorgien, mais l’entourage des parents ayant indiqué que ce prénom serait difficile à porter, le « M » a été remplacé par un « I », donnant Izïa. Côté vie privée, Izïa Higelin a été en couple avec le photographe et musicien Bastien Burger, qui est bassiste dans la formation qui l’entoure lors de ses concerts. De cette relation est né le 1er août 2018 un fils. Ils se sont séparés en 2022.

Son père lui a consacré plusieurs chansons. Ce qui est dit doit être fait et Ballade pour Izïa sur Illicite (1991), puis J’t’aime telle sur Amor Doloroso en 2006. Loin d’être gênée par son nom de famille, elle revendique au contraire sa filiation à longueur d’interviews en y rendant des hommages appuyés à son père. Quant à ce dernier, il affirme n’avoir rien fait pour l’aider, si ce n’est de lui avoir conseillé un avocat pour défendre ses jeunes intérêts. Il est toutefois à noter que son tourneur est Daniel Colling, qui est, entre autres, directeur du Printemps de Bourges et producteur de Jacques Higelin. C’est Colling qui a offert à Izïa ses premières dates, avec comme premier concert important, un passage au Printemps de Bourges en 2006.

Source : Wikipédia.

Cette chanteuse, dans ma playlist, n’a plus aucun secret pour vous maintenant. Il est temps de découvrir la fameuse chanson « Mon cœur » que je kiffe d’amour dans son cinquième album « La Vitesse » :

Mon cœur, mon cœur

Accaparée par les ondes

Information continue

Aucune accalmie, pas une seule seconde

Mon cœur, mon cœur

Et ton battement s’accélère

J’vais finir par te perdre

Cracher tes poumons, fais tomber la fièvre

Mon cœur, mon cœur

Ces jeunes déjà fatigués

Par les coups qui te détraquent

Pas une fois, elle t’a quitté

Cette foutue envie de te battre

Fais sauter le moniteur

Et les électrocardiogrammes

Mon cœur, mon cœur

Un, deux, trois, je te crois

Quand tu portes à bout de bras

Ta force et ta foi

Alors que tout autour de toi

S’écroule et se crache

Ce pourquoi l’on vivait

Un, deux, trois, je te crois

Quand tu portes à bout de bras

Ta force et ta foi

Alors que tout autour de toi

S’écroule et se crache

Ce pourquoi l’on vivait

Je prends le plein fouet d’ta colère

Le silence te désespère

Quel que soit la cause, elle ne t’indiffère

Mon cœur, mon cœur

Tambourine dans ma poitrine

Besoin d’air, faut que je respire

Calme tes ardeurs, prends des couleurs

Mon cœur, mon cœur

Mon cœur, mon cœur

Un, deux, trois, je te crois

Quand tu portes à bout de bras

Ta force et ta foi

Alors que tout autour de toi

S’écroule et se crache

Ce pourquoi l’on vivait

Un, deux, trois, je te crois

Quand tu portes à bout de bras

Ta force et ta foi

Alors que tout autour de toi

S’écroule et se crache

Ce pourquoi l’on vivait

Mon cœur

Mon cœur

Mon cœur

Ces jeunes déjà fatigués

Par les coups qui te détraquent

Pas une fois, elle t’a quitté

Cette foutue envie de te battre

Fais sauter le moniteur

Mon cœur

Un, deux, trois, je te crois

Quand tu portes à bout de bras

Ta force et ta foi

Alors que tout autour de toi

S’écroule et se crache

Ce pourquoi l’on vivait

Un, deux, trois, je te crois

Quand tu portes à bout de bras

Ta force et ta foi

Alors que tout autour de toi

S’écroule et se crache

Ce pourquoi l’on vivait

Mon cœur

Mon cœur

Mon cœur

Source : LyricFind

Paroles de Mon cœur © O/B/O Capasso

#Job. Possible déménagement au sud de mon île ! Comment s’y préparer ?

Comme vous le saviez, ça fait plus de quatre ans que j’enseigne à l’Université de Tuléar et ça fait un moment qu’avec mon chéri ❤ nous envisageons un déménagement là-bas (lassés des vas-et-viens pour donner mes cours et revenir dans la capitale quelques semaines après. En plus, si notre bébé commence l’école, ce ne serait plus possible de procéder ainsi. Il doit avoir une vie plus stable pour une bonne réussite scolaire). Or, déménager ne se fait pas d’un claquement de doigts ni ne se décide pas sur un coup de tête, ça se prépare (les cartons se préparent), surtout que nous envisagions de quitter une région (Tananarive – le centre de mon île, qui fait partie des Hautes terres centrales) pour vivre à une autre région (Tuléar – le sud de mon île, au bord de la mer). Du coup, nous nous posons sérieusement ces temps-ci la question : comment se préparer à cet éventuel déménagement ? Autrement, nous sommes en train de définir une check-list pour mieux nous organiser à cet éventuel déménagement, entre autres :

  • La gestion des formalités liées au logement (au début, nous commençons par louer un logement que ce soit un appartement soit une maison – ma préférence – pour ne pas procéder à la hâte à un achat immobilier) et du préavis pour notre jardinier. Cette première étape de déménagement se passe normalement 90 jours avant le jour J.
  • L’exécution des tâches pratiques qui vont faciliter notre déménagement comme le tri de nos affaires (meubles, vêtements pour la grande chaleur du Sud et pour la plage, papiers…) et l’anticipation de certaines démarches administratives (l’école pour notre bébé, la préparation de ma prise de poste là-bas, le contact à un déménageur professionnel). Une étape qui doit se passer 60 jours avant le jour J.
  • La préparation concrète du déménagement en faisant les cartons (qui doivent contenir les affaires dont nous n’aurions pas l’utilité d’ici le jour J pour ne pas avoir à rouvrir les cartons), en contactant tous nos fournisseurs (d’énergie, de chaînes de télévisions, d’internet, de téléphonie mobile…), en fixant la date du déménagement et trouvant de l’aide si nécessaire. Normalement, tout cela doit se passer un mois avant le jour J.
  • La mise au point des derniers préparatifs avant le départ comme le signalement du changement d’adresse, la mise au point des derniers rangements (tout en vidant et dégivrant le frigo, les vaisselles du dernier jour, les papiers et clés…)
  • La préparation de notre bébé pour le déménagement (notre animal domestique – Biscuit, ma chienne – n’est pas du tout en reste).

Et côté #Blogging ? Rien de spécial pour le moment !!!

C’est la première fois que je n’ai pas de nouvelles à vous partager pour ce qui est de mon blog en éditant un post « mes toutes dernières nouvelles » à mes plus grands regrets bien évidemment. Ce n’est pas du tout étonnant, car ça fait un moment que je suis de moins en moins présente dans le monde de blogging faute de temps. Du coup, l’occasion d’innover pour mon bébé blog se fait de plus en plus rare. Mais, rassurez-vous, car cela ne veut pas dire que mon bébé blog est totalement à l’abandon ou qu’il ne compte plus à mes yeux. Oh que NON ! Dès que le temps me le permettra, tout rentrera dans l’ordre, car les projets bloguesques qui me tiennent à cœur vont pouvoir être réalisés essentiellement l’achat du nom de domaine pour Femme & Infos, car enfin, j’ai pu définir un nom qui me parle bien et le choix de l’hébergeur est déjà fait depuis des lustres.

Sinon, je profite de cette occasion pour vous remercier de vos présences sur mon blog (sans vous, ce bébé ne survivrait pas aussi longtemps. Et malgré que je sois moins présente sur la blogosphère, je ne cesse d’enregistrer une hausse d’abonnés que ce soit via WordPress – vous êtes plus de 2 530 en ce moment à me suivre – soit via mail – vous êtes plus de 3 000 followers. MERCIS MILLE FOIS !) Je ne vais pas tarder à célébrer les 7 ans de mon blog – en novembre prochain – grâce à vous, j’espère avoir le temps de vous préparer une GROSSE SURPRISE pour vous remercier de votre fidélité. En tout cas, je vous mettrai au courant de l’évolution des choses, car pour le moment : rien de spécial. Mais, si vous, de vos côtés, vous avez quelques choses à partager ici, n’hésitez pas à me contacter. A vous de jouer maintenant !

Mots de la fin…

Même si je vous ai parlé d’un big come-back la dernière fois quand j’ai fait le saut ici en parlant de la couleur orange : the new black ; ce n’est toujours pas le cas faute de temps. En profitant d’un petit créneau, je vous fais part de mes toutes dernières nouvelles qui sont toujours dans toutes les sauces en parlant de :

  • Mode. Mes astuces pour porter une tenue estivale (essentiellement la fameuse robe de plage) en tenue de ville.
  • Beauté. Mon avis sur le Baume Embellisseur Clear Anti Pel de Diva Paris.
  • Famille. La préparation de la première rentrée scolaire de notre bout’d’chou.
  • Culture (encore une nouvelle sous-rubrique de cette nouvelle édition). Je vous ai fait part de ma lecture en cours : « René La Canne » de Roger Borniche (1957) et de la musique que j’écoute en boucle en ce moment : « Mon cœur » d’Izïa Higelin (dans son cinquième album baptisé « La Vitesse »).
  • Job. J’ai parlé de notre possible déménagement au sud de Madagascar càd à Tuléar et tous les préparatifs y afférents.

Cette fois-ci, je n’ai aucune nouvelles pour ce qui est de mon bébé blog que je ne laisse jamais à l’abandon.

Que pensez-vous de cette nouvelle édition de « mes toutes dernières nouvelles » ?

Bisous ❤

anita